Si Balthazar incarne une élégance rare, c’est un de ses membres, Maarten Devoldere, qui définit fragilité, sensualité et mystère. C’est sous le nom de Warhaus qu’il nous livre en septembre dernier son premier album We fucked a flame into being. Un premier opus à mi-chemin entre Léonard Cohen et Bob Dylan, qu’il présente comme « une ode à l’amour, à ses excès et sa fugacité, qui “rend hommage à la décadence et l’intensité que peut offrir la vie”. ».
Warhaus sera en concert lors du festival GéNéRiQ à deux reprises :
le vendredi 17 février à 20h au Consortium de Dijon
et le samedi 18 février à 20h30 au Scénacle de Besançon (soirée complète!)
Découvrez son univers via son site web http://www.warhausmusic.com/