Aujourd’hui c’est sur Ghost Culture qu’on a décidé de lever le voile. James Greenwood qui sera présent pour le Féstival GénériQ le 12 février au Musée des Beaux-arts de Besançon, le 13 au Noumatrouff de Mulhouse et le 14 aux Céllier de Clairvaux à Dijon. De quoi vous faire voir deux ou trois mirages.
Portes qui claquent et robinets qui goûtent, ambiance glauque, mais sereine, il y a tout ça dans la musique de James Greenwood. Armé seulement d’un synthé Korg Mono/Poly et un séquenceur, l’apprenti fantôme joue les apprentis sorciers et fait monter la pression du dancefloor. Comme l’âme de la machine, il transcende le son sans l’effleurer et ça donne un mélange de samples electronica, de nappes tourbillonnantes, duveteuses, douces et rythmées techno. De quoi vous faire danser et animer un peu le musée des Beaux-arts de quelques ombres passagères. Venez vous perdre dans les brumes de celui qu’on compare déjà à Depeche Mode.