Alors que Moriarty aurait attiré 800 personnes à la Rodia, une trentaine de personnes a judicieusement choisi de se faire attirer dans l’antre des PDZ. En effet, après un premier passage remarqué en octobre 2009, Mark Charles Heidinger et Rose Guérin reviennent hanter la cave du bar-concert bisontin.
La première partie du concert est assurée par Cheyenne Marie Mize, jeune musicienne américaine, une véritable découverte. Multi-instrumentiste, elle illumine la scène tant par sa présence vocale que par sa beauté infantile. En une vingtaine de minutes, elle offre des morceaux folks sobres comme Best ou Friend. Ce petit set se terminera par 2 morceaux où Cheyenne délaissera sa guitare pour accompagner sa magnifique voix par des percussions ou par un violon.
Le temps de faire un tour dans la rue de Vignier et Vandaveer prend le relais. Auteur d’une prestation intimiste il y a 2 ans, le show commence sur la même note. Mark Charles Heidinger et Rose Guérin + une guitare. Dig Down Deep, titre éponyme du nouvel album ouvre les hostilités. Suivi de The Waking Hour, However Many Takes It Take ou encoreTurpentine. On est rassuré, les voix sont toujours aussi puissantes et se marient non moins magnifiquement. MCH plaisante avec le public, s’exprime en français, et est toujours inspiré par la configuration des lieux à qui il prête des histoires d’esclaves enchaînés..
Puis Cheyenne rejoint les autres protagonistes pour les accompagner au violon et aux percussions. Ceci pour pouvoir jouer les morceaux du nouvel album , beaucoup plus orchestré que ses prédécesseurs. Ainsi on découvre le très pop Nature Of A Kind et le country Spite, morceaux qui vous fait voyager, un peu comme une longue chevauchée dans le farwest.
L’apport du violon de Cheyenne donne une autre dimension aux chansons plus anciennes comme Fistful Of Swoon qui en ressort plus noire que lorsqu’elle est jouée à deux. Ou la ballade Beverly Cleary’s 115th Dream, à l’écoute duquel vous sentez comme une envie très forte de serrer votre voisine de gauche.
VNDVR nous offre une reprise sans grand risque du Stand By Me de Ben E. King mais qui fera tout de même son effet. Le set se clôturera également sur une reprise, en revanche plus inattendue. Poor Edward de Tom Waits fera donc tomber le rideau sur une prestation encore une fois magistrale du groupe de Washington. MCH et ses amies laisseront un nouveau souvenir incroyable au public des PDZ. On espère vivement que cela se répètera dans le futur. Et dire que pendant ce temps là, certains se plaignent de ne pas avoir entendu Woolgathering…
La première partie du concert est assurée par Cheyenne Marie Mize, jeune musicienne américaine, une véritable découverte. Multi-instrumentiste, elle illumine la scène tant par sa présence vocale que par sa beauté infantile. En une vingtaine de minutes, elle offre des morceaux folks sobres comme Best ou Friend. Ce petit set se terminera par 2 morceaux où Cheyenne délaissera sa guitare pour accompagner sa magnifique voix par des percussions ou par un violon.
Le temps de faire un tour dans la rue de Vignier et Vandaveer prend le relais. Auteur d’une prestation intimiste il y a 2 ans, le show commence sur la même note. Mark Charles Heidinger et Rose Guérin + une guitare. Dig Down Deep, titre éponyme du nouvel album ouvre les hostilités. Suivi de The Waking Hour, However Many Takes It Take ou encoreTurpentine. On est rassuré, les voix sont toujours aussi puissantes et se marient non moins magnifiquement. MCH plaisante avec le public, s’exprime en français, et est toujours inspiré par la configuration des lieux à qui il prête des histoires d’esclaves enchaînés..
Puis Cheyenne rejoint les autres protagonistes pour les accompagner au violon et aux percussions. Ceci pour pouvoir jouer les morceaux du nouvel album , beaucoup plus orchestré que ses prédécesseurs. Ainsi on découvre le très pop Nature Of A Kind et le country Spite, morceaux qui vous fait voyager, un peu comme une longue chevauchée dans le farwest.
L’apport du violon de Cheyenne donne une autre dimension aux chansons plus anciennes comme Fistful Of Swoon qui en ressort plus noire que lorsqu’elle est jouée à deux. Ou la ballade Beverly Cleary’s 115th Dream, à l’écoute duquel vous sentez comme une envie très forte de serrer votre voisine de gauche.
VNDVR nous offre une reprise sans grand risque du Stand By Me de Ben E. King mais qui fera tout de même son effet. Le set se clôturera également sur une reprise, en revanche plus inattendue. Poor Edward de Tom Waits fera donc tomber le rideau sur une prestation encore une fois magistrale du groupe de Washington. MCH et ses amies laisseront un nouveau souvenir incroyable au public des PDZ. On espère vivement que cela se répètera dans le futur. Et dire que pendant ce temps là, certains se plaignent de ne pas avoir entendu Woolgathering…